Alors que ce phénomène touche de plus en plus de travailleurs en France (Plus de 3 millions d’actifs ont un risque élevé de faire un burn-out, selon une étude publiée en janvier 2014, par le cabinet Technologia), le Sénat a récemment rejeté le projet de loi qui prévoyait de considérer le burn out comme maladie professionnelle. Cela en dépit des recommandations des professionnels de la santé, au motif que la prise en compte de ces pathologies devait se faire via le système complémentaire de reconnaissance des maladies professionnelles ; l’inscription dans le tableau des maladies professionnelles n’étant pas adaptée à la spécificité et à la complexité de ces pathologies.
Pour en savoir plus :
http://www.novethic.fr/empreinte-sociale/conditions-de-travail/isr-rse/la-qualite-de-vie-au-travail-une-demarche-innovante-qui-peine-a-s-imposer-143485.htmlburn-out is not (yet) recognized as an occupational disease. While this phenomenon affects more and more workers in France – more than 3 million workers have a high risk of burn-out- according to a study published in January 2014 by the firm Technologia, the Senate recently rejected the bill which called to consider burnout as an occupational disease. This despite the recommendations of health professionals, on the grounds that the inclusion of these conditions should be made via the complementary system of recognition of occupational diseases; the entry in “the table of occupational diseases” are not adapted to the specificity and complexity of these pathologies.
http://www.lexpress.fr/emploi/le-burn-out-n-est-plus-sur-la-liste-des-maladies-professionnelles_1693366.html